

Dans tes yeux, je ressens ta sensibilité
Douce femme à ta grande passivité
Ces poèmes que tu as lus, m’ont fait pleurer
Femme, tu verras en moi, la sensibilité
Tout cela à mon égard, ressemble à la médiocrité
Douce femme, mélancolie sont mes poèmes
Ils ne ressemblent à rien, à la nuit de carême
Je ne ferai que suivre ce qui est de mon emblème
Tu comprendras la réalité que j’aime
C’est de ne parler que de la mort extrême
Je n’ai su qu'être ce que je ne suis
Un égoïste, douce femme, je suis et je ne vis
Le désastre me ressemble, je ne vois que lui
Douce femme, un jour tu t’en iras
Je ne pourrai suivre un seul de tes pas
Au revoir, douce femme et suis ton bon destin!