Dans la ville et ses méandres
Je dévisageais les regards de cendre
Je parcourais les rues, les ruelles
A la recherche du parfum charnel
 
Je longeais la rive boueuse
De tout temps, je courais la gueuse
Celle qui mord  le plaisir anxieux
Le plaisir de mes instants fougueux
 
Ces femmes qui caressent ma vie
Ces dames de la haute, qui assouvissent
D’une grande ardeur mes envies
Celle qui font que je jouisse
 
Le sourire flasque de la gueuse
Les faveurs payantes et généreuses
Déambuler les rues austères
Dans une lugubre atmosphère
 
J’ai ressenti comme une salissure
Le dévoyé  fréquentant la gueuse
Au dépend de sa vie orgueilleuse
A ressenti une sale blessure
 
 
 
 
 
 
 

           

 

 Mettre un commentaire

 

 

 

 

 

 
 



Créer un site
Créer un site