

Chaque nuit mon corps a peur
Il est l'offrande d'un désir
Qu'il n'ose fuir
Il doit lui accorder ses faveurs
Je me sens si sale
Quand son corps me touche
Son haleine fétide de sa bouche
Sort la salive que j'avale
Ses mains me frôlent
Entre mes cuisses écartées
Que je n'ose refermées
Je suis le jeu de rôle
Celui d'une femme, ma mère
Je dois être la douce catin
Et ses yeux tendre et câlin
Il Dévore la sueur de ma chair
Il me puni de ses caresses
Je ne peux fuir
De ce tendre plaisir
Mon corps devient paresse
Sa langue transperce mes lèvres
Tournoyant au fond de ma gorge
Caressant son sucre d'orge
Il me fit goûter le suc de sa sève
Comme je voudrais le repousser
Quand ces doigts longs descendent
Ecartant mon anus et je bande
Mes cuisses sont bien écartées
Je suis près à être pénétré
Pour que puisse couler sa bave
Et comme un enfant brave
Je jouirai de plaisir à ces côtés