

Prisonnier de cette petite chambre
A l’alcôve étroite, sentant le chanvre
Eclairée par l’esprit des anges
Lumière des mensonges étranges
L’odeur insipide du cigare
Mes idées qui s’égarent
Dans le trouble de ma mémoire
De mes pensées blasphématoires
Mon âme envahie de solitude
Mon cœur sombre dans la décrépitude
Mes mots n’ont aucun sens
Mes phrases frôlent l’indécence
Moi le poète de tout les enfers
Ô maîtresse, douce Lucifer
Entre dans ma vie de débauche
Avant que la mort me fauche
Que je devienne ton esclave
Boire le sang de ton corps suave
Mon âme a rejoint le purgatoire
Dans le déchaînement de l’amour illusoire

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