Le sang coule à flot
Sur sa chair fatale
Défunt en son pays natal
A le bel hidalgo !
 
Son bannissement triomphant
Dans le carcan des méandres
D’une vie faite de cendres
Tu as si bien vécu, le géant !
 
Toi le bel hidalgo !
Comme ton charme ravageur
A fait des victimes qui se meurent
Et toi tu continuais à faire le beau
 
Mais tu es devenu la proie
Des petites femmes sans vertu
Dans les nuits parisiennes corrompues
Et pourtant tu avais le choix
 
Toutes ces femmes à la chair putride
Au parfum de la fleur de lys
Elle ton apporté la syphilis
Ton cœur malade, tu as choisi le suicide
 
 

 

  

 

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