Ô femme ! Cruelle et insipide
Pourquoi tant d’insolence ?
Parfum doux de l’innocence
Ta haine aux fronces de tes rides
 
Exalte ta passion intime et violente
Dans cette chambre sombre
A la recherche de mon ombre
De ma chair malodorante
 
Tes lèvres à la saveur poivrée
Frôlent mon torse dévêtu
Mon sexe bandant mis à nu
Embrassant ta poitrine satinée
 
Ta ma main posée sur mes yeux
Je ressens une lame s’enfoncer
Dans mon cœur et le transpercer
J’ai rejoins le royaume des cieux
 
Ta bouche essuyant la lame
Mon sang encore chaud
Sur tes talons hauts
Tu repars sans une larme
 

 

    

 

 Mettre un commentaire

 

 



Créer un site
Créer un site