O femme ! J'aime ce doux plaisir
Quand vient la force du désir
D’un amour torride et sensuel
Sur un lit aux draps flanelle
 
Ma main glisse la fermeture éclair
Et ta longue robe tombe à terre
Je goutte ta poitrine frémissante
Le sucré de tes lèvres pétillantes
 
J’embrasse ton cou au parfum d’ambre
Ta main au contact de mon membre
Frétille avec une ardeur phénoménale
Si proche d’un amour immoral
 
Oh oui ! Femme embrase mon gland
Rend mon corps chaud de son sang
Ma bouche descend le long de ton échine
Tes lèvres caressent avec fougue ma pine
 
Tes cuisses s’entrouvrent laissant paraître
Une fourrure au service de ton maître
Où s’écoule une sève amère et blanche
A l’excitation de mes mains sur tes hanches
 
O femme ! J’aime à te chérir
Quand je sais que tu vas jouir
Je deviens ton esclave né
Sur ce beau lit d’orchidées
 
Ma paume moite posée sur ton pubis
Ma langue tourne autour de ton clitoris
Mon index pénètre ton utérus
Mon majeur s’enfonce dans ton anus
 
Je sais que tu n’approuves guère
Quand ma vie pénètre l’antre de Lucifer
J’embrasse les larmes de ta souffrance
Te faisant oublier les tabous de ton enfance
 
Tes mains posées sur mes fesses
Tes petits cris emplissent la pièce
Et la fougue de mon sexe coquin
Vient à se poser sur ton vagin
 
O femme ! Comme tu as l’air ravie
Quand ta bouche avale ma vie
Où s’écoule la sève de la jouissance
Je ressens en toi la renaissance
 
O femme ! De cette perversité
Tu as jouis, je t’ai tant donné
Que ton corps en transe en redemande
Je n’en peux plus ! Mon sexe rebande
 
 

 

     

 

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