

Profonde mélancolie d’une musique douce sans refrain
Enivrant l’atmosphère déjà emplie d’une fumée étouffante
Ces gens qui m’entourent, me lassent de leur rire strident
Ces filles sans pudeur qui s’accrochent à mon talent
Visant mon cœur d’amour, faussé par l’argent pourri
Violence de l’amour persécuté par le simple égoïsme
Puanteur de ces parfums qui embaument ces êtres pervers
Ces hommes qui boivent pour oublier leur laideur
De toutes ces prostituées qui ne connaissent pas les joies de l’amour
Dégoûté par l'entourage grossier de cette petite chambre
De cette femme nue, vomissant ce corps de pécheresse
Ce sang qui coulait le long de sa poitrine, me réjouissait
Tous ces masochistes ne pourront plus jouir de ses coups de fouet
Ces chiens aux pieds de leur maîtresse, pleureront leur fric versé
Cette femme sans scrupules, inerte sur ce lit démodé
Ce corps déformé par l’amour payant, pourrissait
J’ai détruis le futur de cette femme pour la sauver
Je vais aller la rejoindre, comme notre amour d’hier
Oublier ce mal qu’elle m’a fait et revenir sur le présent
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